poniedziałek, 20 grudnia 2010

wyrzutki?













Tes pieds sont aussi fins que tes mains, et ta hanche
Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage
L'amour est assis sur le crâne
La sottise, l'erreur, le péche, la lésine
Lorsque, par un décret des puissances suprêmes
Une chambre qui ressemble à une rêverie
Rappelez-vous l'objet que nous vîmes, mon âme
Sous un grand ciel gris, dans une grande plaine poundreuse
La nature est un temple où de vivants piliers
Fière, autant qu'un vivant, de sa noble stature
Il faut être toujours ivre. Tout est là
A la pâle clarté des lampes languissantes
Quelle admirable journée! Le vaste parc se pâme
Voici venir les temps ou vibrant sur sa tige
Homme libre, toujours tu chériras la mer
Horloge! dieu sinistre, effrayant, impassible
Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l'abîme
Mon enfant, ma soeur, Songe à la douceur
Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage
O toison, moutonnant jusque sur l'encolure
Du temps que la Nature en sa verve puissante
Mère des souvenirs maîtresse des maîtresses
Viens, mon beau chat, sur mon coeur amoureux
Dans des fauteuils fanés des courtisanes vieilles
Lecteur, as-tu quelquefois respiré
La très-chère était nue, et, connaissant mon coeur
La femme cependant, de sa bouche de fraise
Morne esprit, autrefois amoureux de la lutte
Quand, les deux yeux fermés, en un soir chaud d'automne
Sois sage, ô ma Douleur, et tiens-toi plus tranquille
Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
Enfin! seul! On n'entend plus que le roulement de quelques fiacres
J'ai longtemps habité sous de vastes portiques
Pour l'enfant, amoureux de cartes et d'estampes



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